Ce mot s’écrit pareil en allemand et en français. Pratique ! (Là, c’était plutôt en allemand.)

     Pas de post de toute la semaine. Parce que finalement il n’y a plus grand chose de nouveau. C’est allé vite. Le temps passe de plus en plus vite à l’usine, sans doute parce qu’on me laisse faire de plus en plus de choses sur les machines. J’ai mon permis-transpalette, je commence à connaître les prénoms des gens (Matthias, qui met souvent le même T-shirt, Martin, Jens, que j’ai très envie d’appeler Jens Bond mais je ne trouve jamais l’occasion.), et un des ouvriers fait toujours la même blague de klaxonner dès qu’il conduit une machine et croise quelqu’un, situation que l’on rencontre chaque jour au moins cinq fois et qui ne fait plus rire personne depuis une dizaine d’années je pense. Je vais toujours au même endroit pour acheter mon sandwich et je reconnais des gens dans le train le matin.

Heureusement que des amis viennent me rendre visite ! On apprécie différemment la ville quand on est seul et accompagné. Ce n’est pas une grande nouvelle. Petits tours sur le port, au bord du lac, à Sternschanze, à St Pauli et sur la Reeperbahn. Tentatives de tour du port en bateau et de Kunsthalle, mais trop cher. Ce matin, le marché au poisson était plutôt décevant. On a du arriver du mauvais côté car il n’y avait que des baraques à Fischbrötchen et des marchands de mugs aux couleur de la ville. Level 3 FAILED.

Logeuse rentrée. Début des emmerdements. Oops, j’ai laissé traîner un caleçon dans la salle de bains. Je crois que ça ne lui a pas plu. Je crois qu’elle est un peu perdue/folle. Mais très gentille au demeurant.

Énorme triathlon dans Hambourg aujourd’hui. Épreuve de natation dans l’eau du lac. Berk. Réjouissances post-effort sur la place du Rathaus. Ici, les gens (=beaucoup de gens ! Les Hambourgeois ont l’air assez sportifs) boivent de la bière après avoir fait un triathlon. Mais ça n’a pas l’air de trop leur réussir.

C’est parti pour deux autres semaines. J’espère que je vais les apprécier autant que les deux précédentes. Je sens que ça va être différent, je ne sais pas pourquoi. On verra.